Description
WELCOME TO BAYHEM !
Réalisateur mal-aimé et souvent incompris, la tornade Michael Bay, qui met au service du cinéma d’action son esthétique reconnaissable entre mille, sème le chaos à Hollywood contre vents et marées depuis le milieu des années 1990. En s’appuyant sur des éléments biographiques, la parole du réalisateur et de nombreuses analyses thématiques et stylistiques, MICHAEL BAY : LA FIN DE L’INNOCENCE creuse au plus profond de sa filmographie, de Bad Boys à Ambulance, pour mettre à mal les préjugés qui l’entourent et tenter de résoudre l’énigme que représente le paradoxe Bay, entre sincérité et cynisme, fantasme et réalité, cinéma et publicité.
Quand il ne crie pas tout l’amour, raisonné toutefois, qu’il porte au cinéaste, Robert Hospyan cumule les casquettes de scénariste, réalisateur ainsi que rédacteur pour Rockyrama – dont leur ouvrage David Fincher : Néo-noir – et le site FilmDeCulte.com.
MICHAEL BAY : LA FIN DE L’INNOCENCE de Robert Hospyan (2022)
240 pages. Couleur.
SOMMAIRE
I – LE MONDE SELON MICHAEL : LA MÉTHODE BAY
– Partie 1 : Vendre l’histoire
– Partie 2 : Remodeler le réel
– Partie 3 : Ressentir l’action
II – L’ENFANT DANS LA MACHINE : LES THÉMATIQUES DE MICHAEL BAY
– Partie 1 : Tu seras un homme, mon fils
– Partie 2 : Le chemin de croix
– Partie 3 : Le soldat inconnu
– Partie 4 : Le corps désincarné
III – LA VERITE TE LIBERERA
– Partie 1 : L’impossibilité d’une île
– Partie 2 : Suce mon gros rêve américain
– Partie 3 : Comme au cinéma
Chaque partie, illustrées par de nombreuses captures de ses films, se conclut par un cas d’étude particulier (analyse de séquence ou focus thématique) pour se plonger en détail dans ce qui caractérise le cinéma de Michael Bay.
